🥊 Des Bateaux Participent À Une Régate Correction
Leséquipes de bateau de serpent participent à la régate de trophée de Nehru. Photo à propos travail, vigueur, avirons, concurrence, local, concurrentiel, mare, oarsmen - 55241041
Desbateaux à voile participent à une régate de voiliers en mer tableaux de myloview. La meilleure des qualités papiers peints, , images, posters, stickers. Vous voulez décorer votre
Locationbateau pour Régate . Louer un bateau pour participer à une régate Vous êtes à la recherche d’un bateau pour effectuer une régate ? Vous êtes au bon endroit ! De nombreux
Diversitédes bateaux participant à la 44e Vogalonga aviron régate sur le Canal de Cannaregio. C'est une régate non concurrentiel célébrant l'art de l'aviron et des embarcations à propulsion n'importe quel homme peut entrer. Autour de 2100 bateaux sont dit d'avoir inscrit cette année. MCpicsAlamy crédit Live News - MP2368 depuis la bibliothèque d’Alamy parmi des
Lesinscriptions sont ouvertes pour la 22ème édition des 25 & 26 juin 2022. Voici venue la 22ème édition d’une régate bien connue des skippers de la baie de Seine et qui conserve depuis l’origine ses mêmes principes de base : marier un bateau à un sponsor (entreprise ou commerçant), laissant la possibilité au sponsor de participer en tant qu’équipier à la régate.
Lamodification de la participation financière au challenge est soumise à approbation du bureau du CCE37. Les équipages organisateurs doivent s’acquitter de leur participation au challenge, ainsi que l’adhésion au club. En cas de déficit budgétaire, le trésorier du club pourra demander aux équipages du challenge une participation
Lerégate des IUT est un événement permettant à tous les étudiant en IUT de France de se rencontrer lors d'une régate se déroulant sur trois jours de Saint-Malo à Saint-Brieuc. Depuis sa création en 2004 la régate des IUT regroupe une quarantaine d’équipages étudiants en Bretagne nord. Plus de 137 000 étudiants sont concernés
Unefolle régate de bateaux en carton ! 2022-06-23 - Après le succès de la première édition, la régate humoristique de bateaux en carton, « Ça cartonne », fera son grand retour, samedi, à Port-Maria. « On attend le même enthousiasme que l’année dernière », annonce Annick Coulon, l’une des organisatrices. Les bateaux seront exposés à partir de 10 h
Vousavez envie de participer à une régate! C'est bien, c'est même très bien. Régater est un des meilleurs moyens de bien connaitre son bateau de se perfectionner à son usage. C'est aussi l'occasion de vivre des émotions
MzbYKn3. Dernières actus habitable Régates habitables Pour ceux qui aiment la compétition, et se mesurer aux autres, des régates sont organisées, régulièrement, au long de l’année, sur des parcours côtiers ou bien tactiques. Règles de course et jauge Pour connaitre les règles de courses, prendre un départ de régate, ou d’autres points. Voir les règles. Sur les courses en flotte, nous naviguons sous la jauge Osiris. Cela donne un coefficient à chaque type de bateau pour des courses équitables, en fonction de leurs performances. Inscription Pour participer à une régate, il vous faut une licence validée en compétition. Documents de course Vous avez accès à tous les documents, Avis de course annuel, Instructions de course, les parcours, les positions des bouées, … Résultats Consultez ici, les résultats des manches courues. Sorties loisirs Le club bénéficie d’un plan d’eau protégé, propice aux sorties, tant en loisirs, qu’en régate. Profitez des réseaux sociaux et du tableau d’affichage, pour vous retrouver et organiser vos sorties loisirs en toute liberté… Météo Avant toute sortie, pensez à regarder les prévisions météo. Le port Le port à flot, accessible toute l’année, vous permet de sortir quand bon vous semble. Sécurité Pensez à votre sécurité en respectant la règlementation. Lorem ipsum Lorem ipsum dolor sit amet, at mei dolore tritani repudiandae. Arbitrage Pour qu’une régate puisse se faire, et se dérouler dans les règles, il faut toute une équipe… Comité de course Organise les départs, parcours, et arrivées. Jury Il juge, sur l’eau ou à terre, lors de réclamations. Aide au comité Il y en a qui hisse les pavillons, donne un coup de sifflet ou de corne de brume, prenne le chrono, note le temps des arrivées, mouille le parcours, … Commissaire aux résultats Elle rentre les résultats dans le logiciel Freg, pour faire les classements.
Départ de la deuxième étape, en 2012. Cette année, ils sont presque aussi nombreux. Dans moins d’une semaine à Barcelone le mercredi 23 juillet, et quelques jours plus tard à Saint-Nazaire dimanche 27, les 90 bateaux participant à la 8è Transquadra s’élanceront pour la première étape de cette grande épreuve transatlantique réservée aux amateurs de plus de 40 ans. Cap sur la marina de Quinta do Lorde, un tout nouveau port de plaisance agrippé à la côte accore et grandiose de l’île de Madère le départ de la deuxième étape, de Madère au Marin en Martinique, sera donné le 24 janvier 2015. On peut déjà donner quelques tendances voire discerner, au moins pour la Transquadra Atlantique en double, quelques favoris. D’autant que beaucoup de concurrents de la flotte atlantique – laquelle reste la plus nombreuse et de loin [1] – se sont entraînés ensemble, et affrontés, lors de deux épreuves en double disputées ces dernières semaines l’Armen Race du 29 mai au 1er juin, puis la Duo Cat Amania, disputée du 21 au 27 juin en pleine canicule sud-armoricaine. L’Armen Race a rassemblé au total 194 bateaux, toutes classes confondues. Et malgré la présence d’un gros contingent de minis, les plus nombreux étaient bien les IRC menés en double on comptait pas moins de 55 bateaux inscrits dans cette catégorie, dont une trentaine menés par des équipages préparant la Transquadra. Et trois semaines plus tard, les quadras représentaient encore plus du tiers de la flotte de la Duo Cat Amania une vingtaine de bateaux pour 55 inscrits au total. A l’heure où certaines flottes IRC de Bretagne Sud semblent parfois clairsemées, l’engouement pour la course en double, en partie généré par la Transquadra mais qui a aussi d’autres ressorts logistique plus simple et navigation plus intense, apporte ainsi une contribution non négligeable au dynamisme de bon aloi que cette jauge continue d’afficher. Comme il y a trois ans, la flotte de la Transquadra 2014-2015 est divisée en quatre groupes, avec à la clé autant de classements établis à l’arrivée au Marin par cumul de temps des deux étapes – Pour les concurrents partis de Barcelone, un classement Transquadra Méditerranée solo et un classement Transquadra Méditerranée double ; – Pour ceux partis de Saint-Nazaire, un classement Transquadra Atlantique solo et un classement Transquadra Atlantique double. La nouveauté, c’est que deux trophées – un pour les doubles et un pour les solitaires – seront par ailleurs décernés pour les premiers en temps réel à l’arrivée de la deuxième étape, les deux flottes – atlantique et méditerranéenne – étant alors confondues. 1,050, c’était bien visé ? A bien regarder ce graphique de répartition des ratings, on doit constater qu’il y a en fait assez peu de bateaux ayant un TCC [2] adéquat autrement dit proche de 1,050 qui est le maximum autorisé dans l’avis de course pour tenter de décrocher ces deux trophées temps réel solitaire et double entre Madère et la Martinique. On peut en dresser une petite liste – Yolo, le fameux Sun Fast 3600 de Jean-François de Prémorel et Philippe Laperche, à 1,049 ; – Le Mistral de Jean-Paul Le Breton et Franck Aussedat, à 1,047 ; mais c’est un bateau très typé qui ne pourra pas forcément se battre avec les autres ; – Grassi Bateaux, le Sun Fast 3600 d’Olivier Grassi et Eric Troussel, à 1,045 ; – Léon, alias 3D Développeurs immobiliers, le fameux JPK de Jean-Pierre Kelbert et Hervé Perroud, à 1,038 ; – Giogio Le Sothiou, le X-37 de Philippe Mariani et Laurent Faure, à 1,037 ; – Mataf, le de Jean-Yves Le Gall et Franck Le Lidec, à 1,037 également très joli bateau, construit en Turquie, essayé dans notre numéro 216 de décembre 2013 ; – Agence directe 3,9 %, le JPK de François-René Carluer et Bruno Bessec, à 1,034 ; – Détours du monde, le RM 1060 de Renaud Lotz et Didier Saget, à 1,033. Ensuite, entre 1,020 et 1,030, on trouve un autre JPK 110, deux A35 ou encore deux Elan 350, mais sur le papier ils sont un peu loin pour le trophée temps réel même si l’Elan 350 Marylou semble assez affûté. Bref, chez les doubles, il va être difficile de décrocher ce pompon à moins de s’appeler Kelbert ou de Prémorel. Chez les solitaires, le jeu ne sera pas forcément plus ouvert il sera peut-être délicat de voler la vedette à Frédéric Ponsenard, qui a déjà son plan de vol et qui, avec son A35 Coco, était le grand vainqueur il y a trois ans chez les solitaires de Méditerranée. A moins que les Pogo 30 de Marc Behaghel ou Philippe Ribau passent le mur du son, ou que l’Elan 350 de l’Allemand Ingo Hamer inflige à la concurrence un gros choc de compétitivité hors rating. Toujours du côté des gros », difficile de ne pas remarquer que le JPK 3D Développeurs immobiliers a opté pour un rating tout en subtilité, qui a encore dégringolé de 5 millièmes depuis le Spi Ouest France, alors que Yolo reste sur de l’artillerie lourde. A croire que Jean-Pierre Kelbert et Hervé Perroud s’intéressent bien plus au classement en compensé qu’au trophée en temps réel… A l’inverse, on peut supposer que les skippers du Sun Fast 3600 Yolo ont voulu prendre une option sur le trophée. Sans forcément sacrifier leurs ambitions sur le classement général en compensé, cela va de soi. Mais on peut sans doute voir là des stratégies différenciées. En fait nous jouons sur les deux tableaux, précise JPK Jean-Pierre Kelbert lui-même ; l’expérience de la Duo Cat Amania nous laisse à penser que le temps compensé est également jouable. L’écart de rating entre Yolo et nous est initialement de 6 millièmes avec les surfaces de voile pour l’équipage, et il est de 11 millièmes en version double. Cet écart se situe dans la surface du génois. Nous avons un génois de double de 3 m2 plus petit et c’est sûr qu’au près dans moins de 12 nœuds nous sommes un peu à la peine, mais il faut bien faire des choix ! Donc oui, Yolo a fait clairement le choix du temps réel et nous celui du réel et du compensé. La météo décidera mais a priori le vrai risque se situe dans la première partie où il peut y avoir du près jusqu’au cap Finisterre, ensuite on espère laisser le génois dans son sac ! » Deux JPK au pied du rocher du Diamant, lors de la régate de clôture en 2012. Il s’agit de et de Swinhoe, respectivement vainqueurs en double et en solo pour la flotte atlantique. Trois ans plus tard il y a quatre fois plus de JPK La composition de la flotte a nettement évolué depuis 2011. [3] Les Sun Fast 3200, qui étaient déjà les plus nombreux, le sont davantage encore 5 bateaux de plus !. Mais le plus frappant, c’est l’arrivée en force des JPK qui étaient au nombre de cinq en 2011, alors que trois ans plus tard on en compte… vingt ! Si l’on additionne les et les on est à vingt-sept bateaux, et avec les deux on arrive presque à trente JPK au total, soit un tiers de la flotte. Au départ de l’Armen Race en double, déjà, les JPK étaient vingt-sept dont quinze dont douze de la Transquadra, soit près de la moitié de la flotte. Non seulement les bateaux construits par Jean-Pierre Kelbert occupaient les trois premières marches du podium un pris en sandwich entre deux mais il y en avait douze dans les vingt premiers… Comme suggéré plus haut, on ne compte que deux Sun Fast 3600 et deux JPK dans la flotte de la Transquadra ; alors que ce sont les deux modèles conçus et dessinés tout spécialement pour le nouveau rating maxi de cette course. Du coup, si l’on regarde de loin notre graphique de répartition des ratings, c’est à se demander si les organisateurs n’ont pas visé un peu haut avec ce nouveau TCC maximum de 1,050, pourtant très inférieur à la limite imposée lors de l’édition précédente 1,074, mais destiné au départ à stimuler la concurrence pour le trophée temps réel. Finalement, on ne compte que trois bateaux entre 1,040 et 1,050 les deux Sun Fast 3600 et le Mistral alors qu’ils sont une quarantaine entre 0,996 et 1,006 – c’est la zone des Sun Fast 3200 et des JPK [4] D’un autre côté, réduire le rating en dessous de 1,050 aurait fermé la porte à beaucoup trop de bateaux et par ailleurs les deux constructeurs Jeanneau et JPK qui ont emboîté le pas aux gentils organisateurs ont eu peu de temps pour lancer leurs bateaux ; il faudra donc voir en 2017… On note par ailleurs que l’effectif des Archambault A35 et A31 a été divisé par deux ; sans doute l’histoire houleuse du chantier au cours de ces dernières années a-t-elle perturbé le développement de ces séries. Les bateaux en question avaient pourtant montré de très bonnes dispositions ; là encore, on verra en 2017, peut-être un exemplaire du nouvel A35R le vainqueur du dernier Spi Ouest sera-t-il alors de la fête… Composition de la flotte de la Transquadra 2014-2015 MODELE NOMBRE EN 2011 NOMBRE EN 2014 Sun Fast 3200 18 23 Sun Fast 3600 – 2 JPK 11 7 JPK 5 20 JPK – 2 A35 8 3 A31 8 4 Pogo 10 1 Pogo 30 – 2 Autres 42 26 Total 102 90 Si les gros ratings ne sont pas nombreux, les effectifs chutent également quand on passe en dessous de 0,980. On compte encore quatre First mais il ne reste plus qu’un seul Pogo alors qu’ils étaient une dizaine il y a trois ans. Et les Pogo 30 n’ont pas encore pris la relève ; mais il est vrai que ce modèle est encore très récent – et donc encore une fois, rendez-vous en 2017. Où sont les favoris ? Jetons un œil sur les résultats de l’Armen Race et de la Duo Cat Amania. Bien sûr, on va tout d’abord surveiller de près le JPK Merlin qui, mené par Eric Morvan et Benoît Champanhac, a remporté successivement ces deux épreuves. Christophe Waubant et François Moriceau, sur leur JPK Mary, ont récolté un résultat en demi-teinte sur la Duo Cat Amania mais avaient pris la troisième place de l’Armen Race. Daniel Péponnet et Daniel Godart, sur l’Elan 350 Marylou, ont fait preuve d’une belle régularité ils ont terminé huitièmes de l’Armen Race et septièmes de la Duo Cat Amania. De même que Bertrand et Jacques Pelletier, qui terminent treizièmes Armen Race puis dix-septièmes Duo Cat Amania. Deux équipages en forme lors des courses préparatoires en haut Eric Morvan et Benoît Champanhac sur le JPK Merlin, en bas Daniel Péponnet et Daniel Godart sur l’Elan 350 Marylou. Le Sun Fast 3600 Yolo, mené par Jean-François de Prémorel et Philippe Laperche, a réalisé une très bonne opération sur l’Armen Race puisqu’ils ont accroché une honnête quatrième place en compensé tout en mettant plus d’une heure à tout le monde en temps réel tout le monde sauf… le JPK Merlin et l’Elan 350 Marylou. Il faut dire que pour le temps réel le plan Andrieu manquait en l’occurrence de concurrents c’était le plus gros rating, seuls les A35 et un JPK110 s’en rapprochaient un peu. Quant au JPK de Jean-Pierre Kelbert et Hervé Perroud, qui aurait été le seul véritable adversaire du gros Sun Fast [5], il a malheureusement dû abandonner dans cette Armen Race, la faute à un caillou qui s’était mis en travers de son chemin voir le récit de Jean-Pierre Kelbert ici – heureusement les dégâts n’étaient pas très importants. Mais les deux grands prétendants au trophée temps réel double de la Transquadra se sont retrouvés face à face lors de la Duo Cat Amania ; simplement, sur Yolo Philippe Laperche courait avec Yann Régniau et non pas avec son coskipper de la Transquadra Jean-François de Prémorel, et Jean-Pierre Kelbert ne courait pas non plus avec son coskipper de la transat. Le Sun Fast a terminé un peu en retrait, à la sixième place, alors que le JPK était deuxième derrière Merlin. On peut enfin rappeler que lors du Spi Ouest France, Yolo et Léon alias 3D Développeurs immobiliers avaient fini troisième et quatrième à égalité de points… Et avec tout ça on n’oubliera pas non plus qu’un deuxième Sun Fast 3600 et un deuxième JPK tous deux absents lors de l’Armen Race et de la Duo Cat Amania, seront aussi au départ de la Transquadra. Capables de créer la surprise ? Olivier Grassi et Eric Troussel, sur le Sun Fast Grassi Bateaux, viennent en tout cas de remporter l’Olona Cup – mais c’est une épreuve HN et la concurrence était moins rude que sur les deux courses précitées. Ils feront certainement partie des principaux animateurs de la course, y compris en temps réel le Sun Fast 3600 Yolo Jean-François de Prémorel et Philippe Laperche et le JPK 3D Développeurs immobiliers Jean-Pierre Kelbert et Hervé Perroud. Dans les tableaux ci-dessous, onglets Armen Race » et Duo Cat Amania » cliquez sur les liens en bas du tableau, ou cliquez ici pour afficher le document en ligne, les quadras » inscrits en solitaire pour la transat sont indiqués en gras ; entre crochets, les coskippers qui ne participent pas à la transat. Une chose à remarquer peut-être au passage globalement, si l’on considère par exemple les JPK de l’Armen Race, les résultats ont tendance à être meilleurs à mesure que le rating s’abaisse et vice versa. Voyez ce petit graphique Evidemment, plutôt qu’au rating lui-même, cela peut être dû au fait que la démarche correspond à des équipages plus motivés et/ou disposant de plus de temps pour s’entraîner… et pour optimiser le TCC. Du reste, souvenez-vous, les vainqueurs en double de 2012 pour la flotte atlantique, Gérard Quenot et Luc Fourichon, avaient sérieusement travaillé le rating, ainsi qu’ils nous l’avaient expliqué à l’arrivée voir ce billet. Gérard Quenot et Luc Fourichon à leur arrivée en Martinique en 2012. Les vainqueurs de la dernière édition avaient su optimiser le rating de leur JPK et surtout ils avaient bien navigué !. Des noms ! Des noms ! Soyons fous et risquons-nous dès maintenant à faire des pronostics en bonne et due forme, en confessant d’avance, toutefois, un certain manque d’imagination. – Pour la Transquadra Atlantique Jean-Pierre Kelbert et Hervé Perroud en double, Jean-François Hamon deuxième en 2012 derrière Philippe Vicariot en solitaire. – Pour la Transquadra Méditerranée Jean-Marie et Romain Vidal en double ; ils ne manqueront pas de pousser leur Sprint 108 dans ses retranchements, or ce vieux plan Joubert-Nivelt a un rating assez avantageux. Frédéric Ponsenard en solo. – Pour le trophée temps réel solo deuxième étape Frédéric Ponsenard A35 Coco. – Pour le trophée temps réel double deuxième étape Jean-François de Prémorel et Philippe Laperche. Alors cette fois, on n’attend plus que le coup de canon. Le solitaire Frédéric Ponsenard lors de son arrivée victorieuse à Madère, en 2011. Il va essayer de faire aussi bien que la dernière fois… [1] Avec 72 bateaux dont 60 doubles ; au départ de Barcelone on ne comptera que 13 doubles et 5 solitaires ; voir le tableau général des concurrents pour un accès direct au document Google, cliquez ici. A noter que si le succès de la Transquadra ne se dément pas, la flotte compte au total 12 bateaux de moins qu’en 2011. Et c’est en fait la flotte méditerranéenne qui s’est tassée elle comptait 32 bateaux en 2011, contre seulement 18 cette année. [2] Time Correction Coefficient. [3] Les sites internet des cinq éditions précédentes de la course sont archivés ici 2011 – 2008 – 2005 – 2002 – 1999. [4] A se demander s’il n’aurait pas fallu aussi un trophée temps réel pour les ratings jusqu’à 1,010, par exemple mais évidemment, c’est facile de dire ça après…. [5] Rappelons que nous avons essayé ces deux modèles – et dans les deux cas, il s’agissait bien du bateau qui va courir la Transquadra le Sun Fast 3600 Yolo, testé dans notre numéro 217 de janvier 2014 avec et par les excellents frères Croyère Antoine et Jérôme, deux anciens de la Transquadra, et le JPK Léon alias 3D Développeurs immobiliers, testé dans notre numéro 221 de mai 2014, avec Jean-Pierre Kelbert en personne. A bien regarder ce graphique de répartition des ratings, on doit constater qu’il y a en fait assez peu de bateaux ayant un TCC [2] adéquat autrement dit proche de 1,050 qui est le maximum autorisé dans l’avis de course pour tenter de décrocher ces deux trophées temps réel solitaire et double entre Madère et la Martinique. On peut en dresser une petite liste - Yolo, le fameux Sun Fast 3600 de Jean-François de Prémorel et Philippe Laperche, à 1,049 ; - Le Mistral de Jean-Paul Le Breton et Franck Aussedat, à 1,047 ; mais c’est un bateau très typé qui ne pourra pas forcément se battre avec les autres ; - Grassi Bateaux, le Sun Fast 3600 d’Olivier Grassi et Eric Troussel, à 1,045 ; - Léon, alias 3D Développeurs immobiliers, le fameux JPK de Jean-Pierre Kelbert et Hervé Perroud, à 1,038 ; - Giogio Le Sothiou, le X-37 de Philippe Mariani et Laurent Faure, à 1,037 ; - Mataf, le de Jean-Yves Le Gall et Franck Le Lidec, à 1,037 également très joli bateau, construit en Turquie, essayé dans notre numéro 216 de décembre 2013 ; - Agence directe 3,9 %, le JPK de François-René Carluer et Bruno Bessec, à 1,034 ; - Détours du monde, le RM 1060 de Renaud Lotz et Didier Saget, à 1,033. Ensuite, entre 1,020 et 1,030, on trouve un autre JPK 110, deux A35 ou encore deux Elan 350, mais sur le papier ils sont un peu loin pour le trophée temps réel même si l’Elan 350 Marylou semble assez affûté. Bref, chez les doubles, il va être difficile de décrocher ce pompon à moins de s’appeler Kelbert ou de Prémorel. Chez les solitaires, le jeu ne sera pas forcément plus ouvert il sera peut-être délicat de voler la vedette à Frédéric Ponsenard, qui a déjà son plan de vol et qui, avec son A35 Coco, était le grand vainqueur il y a trois ans chez les solitaires de Méditerranée. A moins que les Pogo 30 de Marc Behaghel ou Philippe Ribau passent le mur du son, ou que l’Elan 350 de l’Allemand Ingo Hamer inflige à la concurrence un gros choc de compétitivité hors rating. Toujours du côté des gros », difficile de ne pas remarquer que le JPK 3D Développeurs immobiliers a opté pour un rating tout en subtilité, qui a encore dégringolé de 5 millièmes depuis le Spi Ouest France, alors que Yolo reste sur de l’artillerie lourde. A croire que Jean-Pierre Kelbert et Hervé Perroud s’intéressent bien plus au classement en compensé qu’au trophée en temps réel… A l’inverse, on peut supposer que les skippers du Sun Fast 3600 Yolo ont voulu prendre une option sur le trophée. Sans forcément sacrifier leurs ambitions sur le classement général en compensé, cela va de soi. Mais on peut sans doute voir là des stratégies différenciées. En fait nous jouons sur les deux tableaux, précise JPK Jean-Pierre Kelbert lui-même ; l’expérience de la Duo Cat Amania nous laisse à penser que le temps compensé est également jouable. L’écart de rating entre Yolo et nous est initialement de 6 millièmes avec les surfaces de voile pour l’équipage, et il est de 11 millièmes en version double. Cet écart se situe dans la surface du génois. Nous avons un génois de double de 3 m2 plus petit et c’est sûr qu’au près dans moins de 12 nœuds nous sommes un peu à la peine, mais il faut bien faire des choix ! Donc oui, Yolo a fait clairement le choix du temps réel et nous celui du réel et du compensé. La météo décidera mais a priori le vrai risque se situe dans la première partie où il peut y avoir du près jusqu’au cap Finisterre, ensuite on espère laisser le génois dans son sac ! » Deux JPK au pied du rocher du Diamant, lors de la régate de clôture en 2012. Il s’agit de et de Swinhoe, respectivement vainqueurs en double et en solo pour la flotte atlantique. Trois ans plus tard il y a quatre fois plus de JPK La composition de la flotte a nettement évolué depuis 2011. [3] Les Sun Fast 3200, qui étaient déjà les plus nombreux, le sont davantage encore 5 bateaux de plus !. Mais le plus frappant, c’est l’arrivée en force des JPK qui étaient au nombre de cinq en 2011, alors que trois ans plus tard on en compte… vingt ! Si l’on additionne les et les on est à vingt-sept bateaux, et avec les deux on arrive presque à trente JPK au total, soit un tiers de la flotte. Au départ de l’Armen Race en double, déjà, les JPK étaient vingt-sept dont quinze dont douze de la Transquadra, soit près de la moitié de la flotte. Non seulement les bateaux construits par Jean-Pierre Kelbert occupaient les trois premières marches du podium un pris en sandwich entre deux mais il y en avait douze dans les vingt premiers… Comme suggéré plus haut, on ne compte que deux Sun Fast 3600 et deux JPK dans la flotte de la Transquadra ; alors que ce sont les deux modèles conçus et dessinés tout spécialement pour le nouveau rating maxi de cette course. Du coup, si l’on regarde de loin notre graphique de répartition des ratings, c’est à se demander si les organisateurs n’ont pas visé un peu haut avec ce nouveau TCC maximum de 1,050, pourtant très inférieur à la limite imposée lors de l’édition précédente 1,074, mais destiné au départ à stimuler la concurrence pour le trophée temps réel. Finalement, on ne compte que trois bateaux entre 1,040 et 1,050 les deux Sun Fast 3600 et le Mistral alors qu’ils sont une quarantaine entre 0,996 et 1,006 – c’est la zone des Sun Fast 3200 et des JPK [4] D’un autre côté, réduire le rating en dessous de 1,050 aurait fermé la porte à beaucoup trop de bateaux et par ailleurs les deux constructeurs Jeanneau et JPK qui ont emboîté le pas aux gentils organisateurs ont eu peu de temps pour lancer leurs bateaux ; il faudra donc voir en 2017… On note par ailleurs que l’effectif des Archambault A35 et A31 a été divisé par deux ; sans doute l’histoire houleuse du chantier au cours de ces dernières années a-t-elle perturbé le développement de ces séries. Les bateaux en question avaient pourtant montré de très bonnes dispositions ; là encore, on verra en 2017, peut-être un exemplaire du nouvel A35R le vainqueur du dernier Spi Ouest sera-t-il alors de la fête… Composition de la flotte de la Transquadra 2014-2015 MODELENOMBRE EN 2011NOMBRE EN 2014 Sun Fast 32001823 Sun Fast 3600-2 JPK JPK JPK A3583 A3184 Pogo Pogo 30-2 Autres4226 Total10290 Si les gros ratings ne sont pas nombreux, les effectifs chutent également quand on passe en dessous de 0,980. On compte encore quatre First mais il ne reste plus qu’un seul Pogo alors qu’ils étaient une dizaine il y a trois ans. Et les Pogo 30 n’ont pas encore pris la relève ; mais il est vrai que ce modèle est encore très récent - et donc encore une fois, rendez-vous en 2017. Où sont les favoris ? Jetons un œil sur les résultats de l’Armen Race et de la Duo Cat Amania. Bien sûr, on va tout d’abord surveiller de près le JPK Merlin qui, mené par Eric Morvan et Benoît Champanhac, a remporté successivement ces deux épreuves. Christophe Waubant et François Moriceau, sur leur JPK Mary, ont récolté un résultat en demi-teinte sur la Duo Cat Amania mais avaient pris la troisième place de l’Armen Race. Daniel Péponnet et Daniel Godart, sur l’Elan 350 Marylou, ont fait preuve d’une belle régularité ils ont terminé huitièmes de l’Armen Race et septièmes de la Duo Cat Amania. De même que Bertrand et Jacques Pelletier, qui terminent treizièmes Armen Race puis dix-septièmes Duo Cat Amania. Deux équipages en forme lors des courses préparatoires en haut Eric Morvan et Benoît Champanhac sur le JPK Merlin, en bas Daniel Péponnet et Daniel Godart sur l'Elan 350 Marylou. Le Sun Fast 3600 Yolo, mené par Jean-François de Prémorel et Philippe Laperche, a réalisé une très bonne opération sur l’Armen Race puisqu’ils ont accroché une honnête quatrième place en compensé tout en mettant plus d’une heure à tout le monde en temps réel tout le monde sauf… le JPK Merlin et l’Elan 350 Marylou. Il faut dire que pour le temps réel le plan Andrieu manquait en l’occurrence de concurrents c’était le plus gros rating, seuls les A35 et un JPK110 s’en rapprochaient un peu. Quant au JPK de Jean-Pierre Kelbert et Hervé Perroud, qui aurait été le seul véritable adversaire du gros Sun Fast [5], il a malheureusement dû abandonner dans cette Armen Race, la faute à un caillou qui s’était mis en travers de son chemin voir le récit de Jean-Pierre Kelbert ici – heureusement les dégâts n’étaient pas très importants. Mais les deux grands prétendants au trophée temps réel double de la Transquadra se sont retrouvés face à face lors de la Duo Cat Amania ; simplement, sur Yolo Philippe Laperche courait avec Yann Régniau et non pas avec son coskipper de la Transquadra Jean-François de Prémorel, et Jean-Pierre Kelbert ne courait pas non plus avec son coskipper de la transat. Le Sun Fast a terminé un peu en retrait, à la sixième place, alors que le JPK était deuxième derrière Merlin. On peut enfin rappeler que lors du Spi Ouest France, Yolo et Léon alias 3D Développeurs immobiliers avaient fini troisième et quatrième à égalité de points… Et avec tout ça on n’oubliera pas non plus qu’un deuxième Sun Fast 3600 et un deuxième JPK tous deux absents lors de l’Armen Race et de la Duo Cat Amania, seront aussi au départ de la Transquadra. Capables de créer la surprise ? Olivier Grassi et Eric Troussel, sur le Sun Fast Grassi Bateaux, viennent en tout cas de remporter l’Olona Cup - mais c’est une épreuve HN et la concurrence était moins rude que sur les deux courses précitées. Ils feront certainement partie des principaux animateurs de la course, y compris en temps réel le Sun Fast 3600 Yolo Jean-François de Prémorel et Philippe Laperche et le JPK 3D Développeurs immobiliers Jean-Pierre Kelbert et Hervé Perroud. Dans les tableaux ci-dessous, onglets Armen Race » et Duo Cat Amania » cliquez sur les liens en bas du tableau, ou cliquez ici pour afficher le document en ligne, les quadras » inscrits en solitaire pour la transat sont indiqués en gras ; entre crochets, les coskippers qui ne participent pas à la transat. Une chose à remarquer peut-être au passage globalement, si l’on considère par exemple les JPK de l’Armen Race, les résultats ont tendance à être meilleurs à mesure que le rating s’abaisse et vice versa. Voyez ce petit graphique
Ken Read sur Comanche © Jouany Christophe La compétition commence à partir de 11 heures. L’organisation a défini le nombre de classes parmi lesquelles les bateaux seront répartis pour régater cette semaine. Au total, elles seront neuf, avec, dans chacune d’entre elles, des stars de la voile française et internationale. - Publicité - La Direction de course a prévu 21 parcours différents à proposer aux équipages en lice. Des tracés extrêmement variés, adaptés à chacune des classes, comme l’explique Jean Coadou, le Président du comité de course Ils affichent des longueurs comprises entre 15 et 35 milles. Ils seront choisis chaque matin avant 8h30, en fonction des conditions météo. L’une de nos priorités sera de faire en sorte qu’il n’y ait pas de croisements possibles entre les flottes aux passages de marques ». Comme lors de l’édition précédente, les départs seront donnés dans l’est du Pain de Sucre tandis que les arrivées seront jugées devant la plage du Gouverneur. Nous avons choisi d’appliquer le même schéma qu’en 2015. Par ailleurs, nous avons décidé de lancer cinq départs différents afin d’étaler la flotte, principalement pour des raisons de sécurité. Nous débuterons par les plus lents, c’est-à-dire les CSA 4 et les Melges 24, puis nous terminerons par les multicoques », poursuit Jean Coadou. Neuf classes de bateaux Luc Poupon, le Commissaire Général des Voiles de Saint-Barth a tranché, hier soir pour cette 7e édition des Voiles de Saint-Barth, les bateaux en lice seront répartis en neuf classes différentes les Maxi 1, les Maxi 2, les Multi, les CSA 0, les CSA 1 mêlés aux Class40 qui régateront selon leurs propres règles de classe, les CSA 2, 3 et 4 puis les Melges 24. Nous avons défini les classes avec un vrai souci d’équité. L’idée a été de faire en sorte que les flottes soient les plus homogènes possibles afin que la bagarre sur l’eau soit serrée et intéressante, à la fois pour les marins et pour les spectateurs », a détaillé Poupon. Une fois encore, la météo devrait être propice à de belles régates avec un flux d’une quinzaine de nœuds annoncé. Nous sommes vraiment dans un schéma classique pour la saison, avec des régimes de vents d’Est. La première journée sera parfaite. Ensuite, ce sera un peu moins fort, en particulier mercredi, avec dix nœuds sur zone, mais les prévisions sont correctes et vont, à coup sûr, nous permettre de valider de belles régates», promet Jean Coadou, Président du comité de course. Des contrôles de jauge pour une vraie équité sportive Présent à Gustavia depuis samedi, Bastien Pouthier, jaugeur CSA Carribbean Sailing Association, jauge créée afin de promouvoir le yachting aux Caraïbes en proposant une règle de handicap facile à calculer et simple à appliquer procède actuellement à divers contrôles à bord des bateaux des Voiles de Saint-Barth. Son but ? Assurer l’équité sportive, on l’a dit, chère aux organisateurs de l’évènement, et aider les concurrents à optimiser leur handicap sportif. Je les assiste dans la limite de la jauge elle-même. Depuis mon arrivée, je mesure les bateaux qui n’ont pas de certificat, je mets à jours les attestations des équipages qui ont récemment effectué des petites modifications à bord de leur monture, puis je réalise des vérifications sur les bateaux Grand Prix les TP 52, les Ker, les Maxi 72… en reprenant des mesures plus précises », explique Pouthier, qui travaille sur l’évolution technique de la jauge CSA depuis 2007 et maîtrise parfaitement son sujet pour repérer les éventuels filous ». Il existe une correction des compétiteurs entre eux mais mon travail, pendant la course, est d’aller sur l’eau est de vérifier que les équipages naviguent dans la configuration déclarée », a conclu Bastien Pouthier. Des stars en pagaille Outre Ken Read, parrain de cette 7e édition des Voiles et skipper de Comanche, de très nombreux autres marins de renom s’apprêtent à participer à l’évènement. Pour en citer quelques-uns Bouwe Bekking Team Brunel, sept participations à la Volvo Ocean Race au compteur, Brian Thomson Phaedo 3, détenteur du Trophée Jules Verne aux côtés de Loïck Peyron sur le Maxi Banque Populaire V depuis 2012, Guillermo Altadill Varuna VI, deuxième de la dernière Barcelona World Race, mais aussi Peter Harrison Sorcha, Irvine Laidlaw, Mike Topa et Matt Wachowicz Highland Fling, Markus Wieser, Tony Rae Momo. Reste que la plus grosse concentration de stars va sans doute se trouver à bord de Comanche, le 100 pieds de Jim Clark et Kristy Hinze Clark. Jugez plutôt à bord, sont annoncés notamment Stan Honey, Directeur technique de la 34e America’s Cup, vainqueur de la Volvo Ocean Race 2005-200- sur ABN-AMRO puis navigateur à bord de Groupama 3 de Franck Cammas en 2010 pour le record du tour du monde, Shannon Falcone, déjà cinq campagnes de l’America’s Cup à 35 ans, ou encore Nick Dana et Tony Mutter, habitués de la Volvo Ocean Race. Côté français, là encore il va y avoir du monde et du beau avec, pour ne citer qu’eux, Lionel Péan SFS, Eric Dumont et Yves Montanari La Bête, Marc Emig Crédit Mutuel Maximarine, Christine Briand, Jimmy Pahun ou Jacques Caraës. Eux, comme les autres, ont rendez-vous ce lundi à 17 h heure locale pour un briefing skippers avant de rentrer pleinement dans le vif du sujet mardi. Premier signal d’avertissement à 11 heures.
des bateaux participent à une régate correction