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Cependant ces frais ne pourront pas être pris en charge directement par la partie insolvable et devront être avancés par le créancier (article 700 du Nouveau Code de procédure civile). Les saisies. Dans un premier temps, l’huissier pourra procéder à une saisie de meubles ou de comptes bancaires sous deux ans maximum.
Eneffet, aux termes de l’article L 47 du LPF, un examen contradictoire de la situation fiscale personnelle d’une personne physique au regard de l’impôt sur le revenu, ne peut être engagé sans que le contribuable en ait été informé par l’envoi ou la remise d’un avis ; cet avis doit préciser les années soumises à vérification et mentionner expressément, sous peine de
Ledirigeant de fait peut également être poursuivi en qualité d’auteur principal ou de coauteur. Toutefois, la gestion de fait ne doit jamais être simplement affirmée mais elle doit être corroborée par des éléments objectifs. 130. Parmi les décisions qui peuvent illustrer cette notion on
Ellepeut être fiscale ou de prison . Solution: EVASION. Les autres questions que vous pouvez trouver ici Solution CodyCross Cinéma Groupe 400 Grille 3. Post navigation « Cercle au-dessus de la tête des Saints. On s’assoit toujours dessus » Leave a Reply Cancel reply. Your email address will not be published. Required fields are marked * Comment * Name * Email * Website. Save
Certes il n’existe plus vraiment de peines de prison pour fraude fiscale (bien que toujours inscrit dans le code pénal) mais votre compte en banque risquerait, tout de même, d’en prendre un sale coup. En effet, cela peut rapidement ruiner votre vie : une amende maximale de 75.000 €, une peine de prison pouvant aller jusqu’à 7 ans de
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RqGV. En désignant comme des coupables ceux qui choisissent l’exil pour des raisons fiscales, la gauche socialiste et la droite gaulliste tiennent un curieux raisonnement qui trouve son origine dans leur idéologie commune. Les dirigistes considèrent en effet que ce n’est pas parce qu’on a payé ses impôts qu’on est dégagé de ses obligations financières avec l’Etat. Parfaitement compréhensible s’agissant de la droite nationale, cette idéologie doit-elle faire l’unanimité à gauche ? Nous ne le croyons suite après la publicité Gérard Depardieu s’est acquitté de ses impôts en tant que citoyen français pendant toute sa vie. D’un point de vue fiscal Gérard Depardieu et l’Etat français devraient donc être quittes » et se séparer bons amis. Pourtant, non, cela ne suffit pas, le message envoyé par les dirigistes, c’est que Depardieu doit encore quelque chose à la France ». Autrement dit tout ou partie de son travail et de ses revenus futurs appartiennent » à l’Etat-Nation France. Pour la horde dirigiste, Gérard Depardieu ne peut » et ne doit » pas quitter la France. La France est-elle devenue une secte ? La France est-elle devenue une secte qu’on ne peut quitter sans être poursuivi ou menacé ? Ou bien, cette notion d’appartenance forcée de l’individu à la collectivité nationale trouve-t-elle ses racines dans une conception de la société que l’on croyait disparue, à savoir le servage et son proche parent l’esclavage ? La définition du servage extraite de Wikipédia est en effet étrangement appropriée à la situation des exilés fiscaux français Le servage, du latin servus, “ esclave ”, est défini par la convention relative à l’abolition de l’esclavage des Nations unies comme la “ condition de quiconque est tenu par la loi, la coutume ou un accord, de vivre et de travailler sur une terre appartenant à une autre personne et de fournir à cette autre personne, contre rémunération ou gratuitement, certains services déterminés, sans pouvoir changer sa condition ”. » En 2012, Depardieu a indiqué avoir payé 85% de ses revenus en impôts. En 2013 et 2014 il est donc probable que ce pourcentage approchera les 95 à 100% puisque la tranche supérieure de l’impôt sur le revenu passera à 75%, et que toutes les autres taxes, y compris indirectes, seront en suite après la publicité L’acteur est donc invité à verser la quasi totalité de ses revenus au fisc parce que les hommes de l’Etat ont mal géré les finances publiques pendant 40 ans. Et il lui serait interdit de changer de condition » en quittant la France ? On peut trouver la comparaison avec le servage déplacée pour la raison que Gérard Depardieu est encore riche et que les serfs étaient – relativement – pauvres. Et pourtant, à travers les âges et malgré les différences de conditions c’est bien à la même vision de la société que l’on a à faire. Dans cette conception particulièrement réactionnaire de la collectivité, l’individu autonome, libre de ses choix n’existe pas, il n’est qu’un citoyen qui ne doit son éventuelle réussite qu’a sa mère patrie ». Quand la gauche adopte les postures de l’Ancien régime Si Gérard Depardieu a réussi c’est grâce au cinéma français et à la langue française pensent les dirigistes qui s’estiment donc propriétaires » de la langue et de la culture françaises. Pour les utiliser il faudrait donc les louer » à l’Etat français, comme le seigneur le faisait de sa suite après la publicité Dans cette conception d’ancien régime, tristement réactualisée par Hegel, ce n’est pas le peuple réuni en Nation » qui fait la France suivant la terminologie révolutionnaire de 1789, c’est au contraire la Nation française qui fait » le peuple et qui peut donc l’utiliser comme bon lui semble. L’individu n’est plus une fin, c’est un moyen au service du pouvoir, tour à tour chair à canon, ou prisonnier du fisc. En conclusion, entre l’injonction de notre précédente équipe dirigiste La France, on l’aime ou on la quitte », et celle de la nouvelle La France, elle vous plume et on ne la quitte pas », la marge de manœuvre des français rationnels commence à se rétrécir sérieusement.
Fraude fiscale définition Le délit général de fraude fiscale réprimé à l'article 1741 du Code général des impôts CGI consiste à se soustraire frauduleusement ou à tenter de se soustraire frauduleusement à l'établissement ou au paiement total ou partiel de l'impôt. Il concerne donc en général et indifféremment, les manquements commis au regard des obligations déclaratives et par rapport au règlement des impôts dus, dont la TVA collectée non reversée au Trésor. Bien entendu, ces infractions sont le plus souvent révélées lors d'un contrôle fiscal, soit essentiellement dans le cadre d'une vérification de comptabilité ou d’un examen de comptabilité, mais aussi parfois à l’occasion d’un simple contrôle sur pièces ». Selon la propre doctrine administrative, les éléments constitutifs du délit de fraude fiscale doivent réunir deux critères cumulatifs L’existence de faits matériels tendant à permettre au contribuable de se soustraire totalement ou partiellement à l'établissement ou au paiement de l'impôt. Une intention délibérée de fraude. Ce délit concerne par exemple l'omission volontaire de déclaration dans les délais prescrits, la dissimulation intentionnelle de sommes sujettes à l'impôt, l'organisation d'insolvabilité et autres manœuvres tendant à mettre obstacle au recouvrement de l'impôt et tout autre agissement frauduleux. Le délit comptable visé à l'article 1743 du CGI se rapporte soit à l'omission délibérée de passer ou de faire passer des écritures au livre-journal et au livre d'inventaire au regard de l'impôt sur les sociétés, de l'impôt sur le revenu pour les bénéfices industriels et commerciaux ou au livre-journal des recettes et des dépenses professionnelles pour les bénéfices non commerciaux, soit à la passation volontaire d'écritures fictives ou inexactes. La date à laquelle l'infraction se réalise ne doit pas être confondue avec celle où sont accomplis les actes l'ayant facilitée ou permise. C'est ainsi que pour le délit général de fraude fiscale, l'infraction est commise Soit au jour du dépôt d'une déclaration minorée, souscrite dans les délais légaux. Soit, en cas de défaut de souscription dans les délais impartis, à l'échéance du délai légal fixé pour le dépôt de la déclaration. Soit aussi à la date du dernier acte entraînant l'insolvabilité en cas d'organisation intentionnelle de celle-ci. En ce qui concerne le délit comptable, l'infraction est consommée à la date à laquelle l'écriture mensongère a été passée dans les documents comptables ou à celle à laquelle l'écriture omise aurait dû être passée. Dans l'hypothèse de pluralité ou d'enchaînement d'écritures, le délai de prescription court à compter de la passation de la dernière écriture irrégulière. Compte tenu de la nature même de ces infractions, les Cabinets comptables et de Commissariats aux comptes voient naturellement leur responsabilité engagée. Mais c'est évidemment le contribuable lui-même, débiteur des impôts auxquels il s'est soustrait ou a tenté de se soustraire frauduleusement, qui est considéré comme l'auteur principal du délit. Pour les personnes morales, les poursuites sont engagées contre les représentants légaux, soit les dirigeants de droit, mais aussi les dirigeants de fait éventuels au cours de la période durant laquelle l'infraction a été consommée. De plus, les complices qui auraient fourni aide et assistance à l'auteur principal du délit ou qui seraient les instigateurs de l'infraction commise par celui-ci risquent aussi d'être impliqués. Sont concernés particulièrement les professionnels de la comptabilité, salariés ou non, qui utilisent leurs connaissances techniques pour dissimuler les irrégularités comptables ou fiscales commises par leurs employeurs ou clients. Hormis les sanctions fiscales applicables, les peines pénales vont jusqu'à 5 ans d'emprisonnement avec une amende de 500 000 €, dont le montant peut être porté au double du produit tiré de l’infraction. De plus, ces seuils sont portés respectivement à 7 ans de prison et 3 000 000 € d'amende dont le montant peut aussi être porté au double du produit tiré de l’infraction lorsque les faits ont été commis en bande organisée ou réalisés ou facilités au moyen, notamment, de comptes bancaires non déclarés ouverts à l'étranger, de l'usage d'une fausse identité ou de faux documents ou de toute autre falsification, d'une domiciliation fiscale fictive ou artificielle à l'étranger article 1741 du CGI. Délits spéciaux et peines encourues ? L’État dispose d'un arsenal législatif complémentaire pour traquer les "fraudeurs" ou présumés tels. Cette panoplie répressive gradue les sanctions pénales en fonction de l'importance des malversations commises. En matière d'impôt sur le revenu et d’impôt sur les sociétés, sont en particulier passibles d'une amende de 9 000 € ou 4 500 € et d'un emprisonnement de 5 ans, conformément aux articles 1771 et 1772 du CGI Toute personne, association ou organisme qui n'a pas effectué le versement des retenues à la source opérées au titre de l'impôt sur le revenu en vertu de l’article 1671 A du CGI ou n'a effectué que des versements insuffisants si le retard excède un mois. Toute personne qui fait profession soit pour son compte, soit comme salarié, de tenir les écritures comptables de plusieurs clients et qui est convaincue d'avoir établi ou aidé à établir de faux documents en vue de la détermination des bases des impôts dus par lesdits clients. Quiconque, encaissant directement ou indirectement des revenus à l'étranger, ne les a pas mentionnés séparément dans sa déclaration lorsque la dissimulation est établie. Quiconque est convaincu d'avoir encaissé sous son nom des coupons appartenant à des tiers en vue de faire échapper ces derniers à l'application de l'impôt. Quiconque en vue de s'assurer le bénéfice de dégrèvements de quelque nature que ce soit, a produit des pièces fausses ou reconnues inexactes. Par ailleurs, les énonciations frauduleuses incluses dans les actes en matière de droits d'enregistrement et de publicité foncière sont punies de 3 ans d'emprisonnement et de 45 000 € d'amende article 1837 du CGI. Il convient aussi d’évoquer d’autres délits, également dans le collimateur du Législateur … En ce qui concerne les ventes sans factures, les entreprises qui commettent des infractions aux règles de facturation sont poursuivies pénalement dans le délai le plus court selon les procédures de la comparution immédiate, de l'information ou de la citation directe article L. 246 du LPF et punies d'une amende de 75 000 €. Elles risquent aussi d'être placées sous séquestre jusqu'à l'exécution de la décision définitive, étant entendu que cette mesure peut être étendue à l'ensemble du patrimoine de l'auteur du délit article 2 du CGI. Sont punies des peines stipulées à l'article 1741 du CGI les personnes impliquées dans des affaires dites d’entremise illicite ». Ainsi, les dispositions de l'article 1743 dudit Code visent Quiconque qui a sciemment omis de passer ou de faire passer des écritures ou a passé ou fait passer des écritures inexactes ou fictives au plan comptable. Quiconque, en vue de faire échapper à l'impôt tout ou partie de la fortune d'autrui, s'entremet, soit en favorisant les dépôts de titres à l'étranger, soit en transférant ou en faisant transférer des coupons à l'étranger pour y être encaissés ou négociés, soit en émettant ou en encaissant des chèques ou tous autres instruments créés pour le paiement des dividendes, intérêts, arrérages ou produits quelconques de valeurs mobilières. Quiconque a fourni sciemment des renseignements inexacts en vue de l'obtention des agréments stipulés aux articles 199 undecies A, 199 undecies B, 217 undecies, 217 duodecies, 244 quater W et 244 quater X du CGI ou de l'autorisation préalable prévue à l'article 199 undecies A du même Code. Sur les deux derniers points, il apparaît clairement que se trouvent principalement dans la ligne de mire », les dirigeants des établissements financiers et autres officines assimilées en tous genres, auxquels certains contribuables personnes physiques et morales candidats à telle ou telle optimisation fiscale, confient leurs intérêts. Enfin, en matière de TVA, la falsification de factures d'achats réels, l'établissement de factures d'achats fictifs, la constitution d'entreprises imaginaires, la mise en œuvre de circuits de fausses facturations, la simulation des paiements causant un préjudice au Trésor soit par l'obtention frauduleuse de remboursements de crédit, soit par l'imputation de crédits fictifs et relevant de l'escroquerie constituent un délit de droit commun sanctionné par les articles 313-1, 313-7 et 313-8 du Code pénal. Au cas d'espèce, on se rend bien compte du rapport étroit et effectif entre l'infraction entraînant à l'origine une incidence d'ordre strictement fiscal … et sa sanction complémentaire qui relève ensuite directement du Code pénal. Rôle des Avocats en cas de fraude avérée ? En application des dispositions de l'article L. 230 du Livre des procédures fiscales LPF, la Direction générale des Finances publiques DGFIP a la possibilité de déposer sa plainte jusqu'à la fin de la 6ème année qui suit celle au cours de laquelle le manquement a été commis. Le "prévenu" peut donc être inquiété pénalement jusqu'au 31/12/2028 pour une infraction consommée au cours de l'année 2022. La charge de la preuve du délit incombe à l'Administration fiscale. Il lui appartient d'établir la matérialité du délit, ainsi que la responsabilité personnelle du contribuable mis en examen. Les parties poursuivantes ont l'obligation de démontrer, par tous les modes de preuve susceptibles de former l'intime conviction du juge, que l'infraction a été commise intentionnellement, c'est-à-dire dans le dessein de se soustraire à l'établissement ou au paiement de l'impôt. Il n’est pas question de nier l’existence de graves négligences et de pratiques douteuses de tous ordres commises au plan comptable et fiscal, avec ou non la complicité de "représentants de commerce" en optimisation fiscale. Mais les Cabinets d'Avocats fiscalistes et pénalistes ont pour mission de veiller à s'assurer que les faits qui sont reprochés à leurs clients pris dans la tourmente soient véritablement avérés. Tout d'abord, l'Avocat en Droit fiscal s'attache à vérifier que les deux critères cumulatifs exigés par la doctrine administrative et la jurisprudence sont effectivement réunis pour que soit qualifiée de délit général de fraude fiscale l’infraction reprochée au contribuable. Pour préparer au mieux le dossier au plan pénal, il analyse attentivement les arguments développés par le Service des Finances publiques ayant abouti à la proposition de poursuites correctionnelles par rapport à la réalité d'une part, des faits matériels qui lui auraient permis de se soustraire totalement ou partiellement à l'établissement ou au paiement de l'impôt, d'autre part, du caractère véritablement intentionnel de ses actes. Si vous faites l’objet d’une plainte pour fraude fiscale, vous avez un intérêt primordial à vous tourner vers un Cabinet d’Avocats pluridisciplinaire susceptible de sauvegarder vos droits et intérêts avec cohérence et un maximum d’efficacité. À l’évidence, les chances de vous en sortir le moins mal augmentent d’autant plus sérieusement et logiquement si vous avez recours à des Avocats fiscalistes et pénalistes attachés au même Cabinet. De par leurs cursus et leurs parcours professionnels respectifs, leurs missions sont naturellement complémentaires pour une défense optimum de votre dossier. Après le travail incontournable de l’Avocat fiscaliste en amont de l’affaire afin que les rappels d’impôt mis à la charge de l’entreprise et/ou au plan personnel soient le moins douloureux possible, son confrère pénaliste entre alors en scène. Par ses compétences en matière de procédures pénales, ce professionnel essaie déjà de détecter la faille éventuelle dans l’instruction du dossier, susceptible de participer à renverser le rapport de forces en votre faveur, contribuable particulier exerçant ou non une activité professionnelle, dirigeant de la société impliquée, etc. Dans l'hypothèse où finalement les reproches énumérés sont difficilement discutables et que le Tribunal entend prononcer une condamnation exemplaire, l'Avocat compétent en Droit pénal fiscal use alors de toute son habileté pour faire ressortir des circonstances atténuantes, spécifiques à la situation au moment des faits. Le but de la manœuvre est évidemment d’obtenir, à l’issue de sa plaidoirie préparée minutieusement en collaboration étroite avec son confrère fiscaliste, une atténuation des peines principales prononcées, mais aussi de celles annexes, toutes aussi lourdes de graves conséquences au niveau professionnel et privé. Pour ces deux missions capitales, Avocats Picovschi installé à Paris 17ème depuis 1988 dispose justement et opportunément du potentiel indispensable en collaborateurs fiscalistes et pénalistes expérimentés. Ils se tiennent prêts à répondre à votre appel au secours dès le début de votre contrôle fiscal, puis s’il le faut, à l’occasion de la procédure pénale au cas où dans la foulée », vous vous retrouvée poursuivie pour fraude fiscale.
Débats La décision, finalement annulée, du procureur de Dunkerque, de suspendre les incarcérations faute de places, a réveillé un débat récurrent entre les internautes du Que ce soit à propos du rôle de la prison ou des solutions à apporter au problème de la surpopulation carcérale, deux visions s'opposent. Prison punir, isoler ou réinsérer ? © AFP/FRED TANNEAU Vu de l'extérieur, l'univers carcéral est souvent l'objet de bien des fantasmes. Associé à la répression, lieu d'expiation d'une faute, il doit être pour une partie des internautes d'une nécessaire austérité pour permettre la juste punition. "Le rôle de la prison n'est pas de récompenser, le rôle de la prison est une sanction, et la sanction pour un crime donné est une privation de liberté. C'est une punition. Tu as fait quelque chose de mal, tu es puni, c'est aussi enfantin que ça", considère Kris, qui insiste pour que soit faite la différence entre un lieu de punition et un lieu de mise à l' lieu de punition où le loisir ne devrait pas avoir sa place nombreux sont les commentaires qui dénoncent ce qu'ils s'imaginent être un lieu d'oisiveté, finalement pas si pénible. Parmi eux, KparK69, pour qui "une prison doit être une punition et non un hôtel aux frais du contribuable". Alienordaquitaine souligne de son côté que "la taule, ce n'est pas fait pour être le Club Med, mais pour dissuader de recommencer. Il n'y a rien de dissuasif dans le fait de passer quelques mois devant la télé ou à faire de la gonflette aux frais de la princesse", avant de confier "La réouverture de Cayenne, j'y crois depuis toujours !"Des condamnés, mais avant tout des hommesRessortir le bagne du placard ? Duchéroise s'en offusque "Certains commentaires qui demandent la réintroduction du bagne, la construction de prisons de plus en plus spartiates, semblent voir dans la sanction infligée au justiciable une occasion de venger la terreur infligée par la multiplication des faits divers médiatiques. Il faut avoir franchi les murs d'une prison en France pour se rendre compte de la sévérité effective de l'incarcération." HP, quant à lui, considère que les conditions de vie qui résulteraient de la promiscuité sont une "double peine" évitable, la privation de liberté étant déjà, à ses yeux, une sanction suffisante. À cause de conditions que Amer apparente à des "sévices", le risque de "transformer certains criminels en victimes" serait bien présent. Pour lui, la justice n'aurait "rien à voir avec la vengeance", puisque la loi de la république "n'est pas celle du talion". Métis, à ce propos, s'interroge "En quoi des conditions inhumaines d'incarcération soulageraient la douleur des victimes ? Devons-nous en tant que collectivité montrer que nous sommes capables de nous conduire en monstre avec les monstres ? Si les condamnés doivent payer des actes parfois horribles, ils restent des hommes." Whralouf résume ces préjugés qui hantent le débat "La prison en France, dans nos têtes, ça reste notre enfer et ça doit l'être pour ceux qui y tombent aussi, on n'y regarde pas l'autruche.""Il faut définir ce que la société attend de la prison" DuchéroiseAinsi, dans l'imaginaire de certains lecteurs, dont shmoulkiki, "une prison doit faire peur zéro privilège !" Ils sont rejoints par Eastguy, pour qui "une peine n'est dissuasive que si elle est réaliste", incitant par là à une sévérité selon lui méritée. Même si pour KikooLolKewin, "personne n'a jamais dit que la taule était une partie de plaisir, ni un cursus de réinsertion", la question du rôle de la prison et de son rapport au détenu se Paul54, il faudrait "repenser la prison pour ce millénaire" et ne pas se focaliser exclusivement sur l'aspect punitif. "Punir pour venger la victime n'a aucun intérêt, pour la victime elle-même qui doit avancer pour se reconstruire, pour la société ensuite qui doit tôt ou tard, dans la grande majorité des cas, réintégrer celui qu'elle a banni. Il ne faut pas voir notre système carcéral à l'aune de nos propres frustrations." Axel xIl faudrait, pour Duchéroise, savoir si on attend de la prison qu'elle soit "une simple mise à l'écart d'individus néfastes pour un temps donné, avant que ceux-ci reviennent dans le circuit pour reprendre souvent la seule activité qu'ils connaissent", ou l'endroit adéquat pour "acquérir les bases d'une nouvelle vie sociale, une occasion de formation professionnelle, d'alphabétisation." "Faire financer la prison par les délinquants" Alienordaquitaine Le coût d'entretien du système carcéral est également l'une des principales pierres d'achoppement dans le débat. Car après tout, "c'est bibi qui paye, et au bout d'un moment, on a autre chose à faire avec nos impôts !" rappelle Alienordaquitaine. Dans les faits, le coût du travail des détenus s'avère souvent plus élevé que celui de leur entretien. Pourtant, mettre les prisonniers à l'ouvrage serait, pour certains internautes, une alternative à considérer, même pour "casser des cailloux ou ramasser les papiers gras sur le bord des routes" Mars Attack afin de "financer le système". Et pourquoi pas "privatiser les prisons, comme c'est le cas des maisons de retraite ?", propose Daniel74. C'est Aérons qui explique que l'opération miracle préconisée ne serait peut-être pas une si bonne affaire que cela "La privatisation des maisons de retraite en fait exploser le coût, les rendant inaccessibles à la grande majorité des retraités. Privatiser les prisons serait une charge supplémentaire pour les contribuables." Pragmatique, HP propose tout simplement "d'arrêter d'incarcérer à tout-va et de proposer des peines alternatives à l'enfermement."Finalement, Gilles invite à l'apaisement "Il serait peut-être bon de faire une analyse de conscience et de se dire que tout est question de nuance. De se demander comment on espérerait être traité si jamais, par hasard ou par malchance, on passait de l'autre côté..." Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimité Vous lisez actuellement Prison punir, isoler ou réinsérer ? Que lire, que voir, à quel âge ? 27 Commentaires
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