đź›· Doua Pour Se Marier Avec L Homme Qu On Aime
Lamort d'un proche provoque ce qu'on appelle "un avant" et "un après", le fait de voir apparaître ce défunt dans vos rêves signifie donc qu'il est temps de laisser le passé derrière et de commencer à avancer. La mort d'un être aimé nous provoque de la douleur et il est probable qu'on ait du mal à l'assimiler et à le surpasser. Pour
Onretrouve le plus souvent un intérêt de la deuxième personne à se marier avec la première, qu’il soit affectif ou matériel ou bien l’intérêt d’une tierce personne. La folie et la mort. La personne perd les pédales, doute de tout, parle toute seule, se prend pour quelqu’un d’autre, doute de tout le monde, voit des choses, établit des relations entre plein de choses, etc
Lhomme. hésite parfois d'accepter le mariage, il s'en abstient alors de peur qu'il ne puisse assumer ses responsabilités .L'Islam attire alors son attention sur le fait qu'Allah fera de ce mariage un moyen qui mène à la richesse et que c'est Lui qui va assumer cette responsabilité à sa place et qu'Il va lui fournir la force nécessaire pour vaincre les causes de la pauvreté.
Pourrécupérer sa femme, il faut bien sûr l’aimer, mais il faut avant tout être capable de la rendre heureuse, de la faire rêver. Vous ne la ferez absolument pas rêver en ressassant vos sentiments du passé. Autre phénomène lié à la répétition de vos sentiments, vous passez pour un égoïste.
2La vengeance. Les djinns vivent autour de nous. Ils sont très nombreux dans les endroits désaffectés et inhabités par l’homme. Les endroits sales et humides sont particulièrement habités car les djinns trouvent leur nourriture dans les restes et les excréments. Ils sont aussi dans les maisons, surtout vieilles et mal entretenues
douaefficace pour se marier. Autore dell'articolo: Articolo pubblicato: 16/06/2022 Categoria dell'articolo: tippmann stormer elite mods Commenti dell'articolo: the contrast by royall tyler analysis the contrast by royall tyler analysis
Sile prophète muhammad n'avait pas permis a la femme musulmane d'avoir le choix d'accepté ou de refusé un prétendant musulman ! La question se poserait pas je pense. Il aurait fallut qu'il soit pratiquant avec de préférence une bonne moralitée pour qu'elle accepte.
Lecoeur de l'homme (Simone Schwarz-Bart) Des clés pour bien choisir. Mettre l'homme au coeur de nos choix (Anonyme) De tous les prodiges de ce monde (Sophocle) Sermon sur l'ambition (Jacques Bossuet) Choisir (Susana Tamaro) Respecter son corps et celui des autres (Jean-Paul II) Se marier aujourd'hui au service de l'amour (D. Sonet) Haut (Se
Eneffet, rappelons Sa parole : { Ô vous les croyants, cherchez secours dans la patience et la prière car Allah est avec ceux qui patientent } (Sourate 2 : verset 153). Chers frères et sœurs, plus nous patientons face à l’épreuve comme la perte d’un enfant, plus Allah nous assistera et nous facilitera cette épreuve sobhanAllah.
NHRqQQF. Carole, 37 ans, en couple depuis 10 ans. Pourquoi faisons-nous si peu l’amour, ces derniers temps ? » Quand j’ai posé la question à mon mari, cet été, j’ai bien cru m’évanouir de honte. D’habitude, ce sont les hommes qui en demandent trop à leur partenaire, quand les femmes, elles, se plaignent de l’insistance de leur conjoint. Mais après six mois de quasi abstinence, il fallait que je sache. Pourquoi ? Pourquoi ces excuses de trop de travail », trop de fatigue », trop de soucis » alors même que, pendant longtemps, rien n’a affecté notre sexualité, y compris la naissance de notre fille ? Y a-t-il quelque chose que je fais mal, à moins que je ne lui apparaisse plus du tout désirable, allez savoir… Sa réponse ? Mais tu sais bien que je t’aime. C’est juste une mauvaise passe, il n’y a pas de problème entre nous… » Pas de problème ? Mais quel déni ! J’ai beau tenter d’être compréhensive, j’avoue que là , je me sens blessée, au point de douter de moi. Après dix ans de rapports satisfaisants, comment en est-on arrivé là ? Faut-il que j’accepte la situation et prenne mon mal en patience en faisant fi de mes frustrations ? Faut-il, au contraire, en conclure que ce manque de désir reflète un certain désamour et qu’il faut donc songer à partir » ? J’avoue que je suis paumée. C’est tellement humiliant pour une femme d’être ainsi rabrouée… » La réponse d’Isabelle Tilmant*. Chère Carole. La modification du désir est souvent le bât qui blesse à long terme. Alors, comment s’y retrouver ? Il est possible, comme vous le dit votre mari, que ce soit effectivement un passage à vide, à l’image des saisons qui fluctuent et se renouvellent, et que ce passage débouche par la suite sur une nouvelle intimité. Un homme qui ne désire plus n’est pas nécessairement un homme qui n’aime plus, il arrive d’ailleurs parfois que ce soit au contraire un homme qui aime trop… Lorsque le courant tendre prend la part la plus importante de la relation, le désir recouvert de trop de tendresse ne parvient plus à s’exprimer. Il est en effet nécessaire de pouvoir ressentir une forme d’insécurité qui pousse à vouloir reconquérir l’autre si l’autre semble complètement acquis, la sécurité du quotidien va teinter toute la relation d’une sorte de ronronnement, certes agréable, mais où se fera sentir un manque d’étonnement vitalisant. Faut-il pour autant sortir ses griffes pour réveiller l’autre ? Oui et non. Les reproches sont utiles lorsqu’ils servent à tirer la sonnette d’alarme mais, s’ils deviennent répétitifs, ils vont juste réussir à figer le problème. Comme vous en exprimez bien la souffrance, chez la femme pour qui la sexualité est un pan important, ne plus être désirée vient toucher la confiance en sa féminité, en éveillant la crainte de ne plus avoir de pouvoir de séduction. Pour l’homme qui ressent une baisse, voire une absence totale de libido, il est souvent encore plus difficile de le reconnaître dans une société qui prône la virilité à travers les prouesses sexuelles et leur fréquence. En commentaire parallèle, je voudrais mentionner que, si, de nos jours, le sentiment de satisfaction prime dans la motivation à poursuivre son couple, il importe aussi de le situer dans une perspective plus large. En effet, ce qui différencie une relation amoureuse de courte durée d’une relation conjugale à long terme, c’est que la première recherche la satisfaction immédiate tandis que la seconde peut rencontrer des difficultés sans mettre en question les fondements mêmes du couple. Pouvoir se soutenir l’un l’autre fait également partie des satisfactions conjugales. Six mois de quasi abstinence n’est pas le signe de la mort du couple dans la mesure où chacun garde le désir de poursuivre la relation en cherchant comment être mieux ensemble. Pour sortir de votre désarroi, je vous proposerais, Carole, de procéder par étapes 1. N’attaquez pas votre mari de front, mais essayez d’abord de retrouver une complicité avec lui dans les autres domaines de la vie. Il vous dit qu’il a trop de travail et trop de soucis ? Intéressez-vous à ses préoccupations. Peut-être sont-elles tout à fait légitimes. Il mentionne un trop-plein de fatigue ? Analysez ensemble votre rythme de vie et, selon que cette fatigue parle d’un manque effectif de sommeil ou d’un épuisement nerveux, aménagez des temps profitables de repos ou de détente. 2. Rapprochez-vous physiquement de lui, lovez-vous dans ses bras ou laissez-le se coucher dans les vôtres. Ne soyez pas dans une attente de sexualité en tant que telle, pensez que vos corps ont besoin de se réapprivoiser. Il existe, en effet, parfois, une forme de timidité, voire d’incongruité, pour les corps qui ont perdu l’habitude de se rencontrer sexuellement. N’ayez pas d’idée préconçue de comment cela devrait se passer ; cela serait la meilleure manière d’être déçue ! Soyez dans le présent, dans les caresses qui peuvent être tendres, puis progressivement devenir plus centrées sur le sexe. Puisque, pendant dix ans, cela a bien fonctionné entre vous, vous connaissez certainement les préférences de votre mari et ce qui le fait craquer à coup sûr. 3. Si cela ne marche pas tout de suite, ne soyez pas impatiente, l’important est avant tout de retrouver la complicité entre vous. Remettez de la vie dans vos réflexions. Pensez à la fréquence de vos rapports sexuels d’avant, quelle était-elle et qui en était à l’initiative ? Le rythme de votre propre désir est-il le même ou fluctue-t-il selon les périodes ou les années ? Aujourd’hui, à quel rythme sentez-vous votre corps s’éveiller sensuellement ? Et à quel rythme cet éveil vous pousse-t-il à vouloir aller jusqu’à l’orgasme ? Ces deux étapes éveil sensuel et désir d’orgasme peuvent être conjointes ou se couronner dans le temps selon chaque femme. À ce propos, connaissez-vous l’orgasme, et si oui de quelle manière y parvenez-vous ? Si vous avez du désir et non votre partenaire, à vous de mettre en place ce que vous aimez sexuellement qui ne nécessite pas une part active de sa part, mais un accompagnement qui suscitera peut-être ensuite du désir chez lui en contact avec votre jouissance par exemple vous caresser vous-même ou vous procurer du plaisir en vous caressant avec le sexe de votre mari s’il est d’accord. Cherchez des solutions ! 4. Si, par contre, votre mari se dérobe, si vous voyez qu’il cherche à vous fuir, cela demande de prendre le temps de plus échanger avec lui. Ne soyez pas dans les reproches ni dans des conclusions trop hâtives en mentionnant la séparation. Expliquez-lui que votre intimité vous manque, parlez-lui positivement de ce que vous aimiez dans vos contacts la chaleur, la tendresse, l’exaltation de votre corps, le plaisir de le sentir rassasié, son regard sur vous qui vous fait vous sentir femme, etc. Affirmez-lui, sans reproche, mais comme un fait indéniable, que vous avez une fréquence de relations sexuelles moins grande qu’auparavant. Confiez-lui que vous aimiez justement sentir que votre couple traversait les années sans faillir dans votre désir sexuel réciproque. Dites-lui que vous êtes interpellée par ce qui vous arrive car aucun couple n’est à l’abri d’une séparation lorsqu’il est fragilisé, et que vous avez besoin de comprendre pour pouvoir rebondir. Que s’il dénie cette diminution de libido, vous vous sentez seule avec cette question et c’est là que cela devient dangereux. S’il n’enclenche pas, ouvrez encore plus loin le débat a-t-il moins de désir lié à la stabilité de votre couple et de votre vie ? A-t-il moins d’élans sensuels dans son propre corps ? S’il pense que le stress et la fatigue en sont à l’origine, que propose-t-il pour remédier à ces problèmes ? Élargissez encore vos questions, son manque d’intérêt pour vous signifie-t-il qu’il a rencontré quelqu’un d’autre ? Va-t-il sur des sites ? S’il dénie toujours sa diminution de désir, répétez-lui que vous avez besoin de comprendre, que s’il refuse d’entendre votre demande, vous risquez de vous éloigner de lui… 5. S’il reste dans sa logique de soucis à gérer, surtout rejoignez-le dans son discours lorsqu’il vous dit que c’est normal de rencontrer de petits creux dans une relation de couple. Ajoutez que vous êtes sans doute arrivés à une nouvelle étape de votre vie de couple et que vous avez besoin de faire le point à deux pour que cette prochaine phase soit enrichissante pour l’un comme pour l’autre. Dites-lui que vous avez besoin de retrouver celui qui vous avait séduite il y a dix ans, celui qui s’enthousiasmait de cette vie avec vous. Parlez sans reproche mais avec une ouverture l’un à l’autre. Qu’avez-vous accompli ensemble pendant ces dix années ? Quels sont vos projets présents et à venir ? 6. Si, après deux mois, rien n’a changé, s’il refuse toujours de vous entendre, expliquez-lui que vous êtes en train de vous éloigner de lui. Demandez-lui si c’est ce qu’il souhaite… J’espère sincèrement, Carole, que votre mari, se sentant entendu par vous dans cette période de stress, pourra à son tour vous entendre dans votre désir, et que vous parviendrez ensemble à recréer une nouvelle dynamique. Pour cela, n’oubliez pas que prendre du temps à deux de temps à autre, une petite soirée, un petit week-end, permettent de quitter le ronronnement du quotidien pour vous décoiffer les idées et vous chambouler les corps… Propos recueillis par Stéphanie Torre * Isabelle Tilmant, psychothérapeute conjugale et auteure de Rester amoureux. L’art de réinventer son couple » Robert Laffont Résumé du livre Au fil du temps, entre les aléas de la vie et l’évolution de chacun, aucun couple n’échappe aux conflits qui émaillent le quotidien de ceux qui ont décidé de s’engager dans la durée, au-delà de la passion qui a peut-être constitué ou pas le socle de leur histoire. Et, contrairement aux époques précédentes, il semblerait désormais que les couples résistent moins à ces crises, remettant très rapidement en cause leur engagement alors même qu’ils viennent de se lancer dans l’aventure parentale… On s’engage, on se désengage et on se réengage sans toujours avoir réfléchi aux blocages qui ont conduit à l’échec. Comment expliquer cette moindre tolérance des partenaires aux aléas de la vie ? Dans quoi s’enracinent ces conflits qui, à l’origine, peuvent paraître anecdotiques ? Comment les décrypter ? Et comment transformer ces difficultés relationnelles en un tremplin ? Isabelle Tilmant, psychothérapeute conjugale, invite les lecteurs à réfléchir autrement à leurs colères, leurs infidélités, leurs peines et leur solitude en interrogeant leur projet conjugal d’origine. Achetez le livre Retrouvez Isabelle Tilmant, le vendredi 4 octobre, à 13h30, sur Sud radio dans l’émission Le coeur au sud » animée par Alexis Thiebaut et Margaux Bédé. A lire aussi sur le site de Marie France – Je vis en couple mais je me sens seule… Pourquoi ? » – Réponse d’expert Sexuellement, je suis coupée de mon corps » – Réponse d’expert Comment pardonner son infidélité ? »
Une étude réalisée en Grande-Bretagne en 2012 indique que dans 92,5% des couples hétéros, l'homme est plus grand que la femme. En moyenne, la différence de taille entre l'homme et la femme est de 14 centimètres coïncidence - ou pas - cette mesure correspond peu ou prou à la taille moyenne d'un pénis en érection. Faites ce que vous voulez de cette information. 50% des hommes préfèreraient que leur partenaire soit plus petite qu'eux, tandis que 90% des femmes souhaitent être plus petites que leur copain. Oui, mais un couple, est-ce vraiment une question de taille ? Arrêtez tout ! Voici 7 preuves que ce critère est totalement absurde. Sortir avec un homme plus petit adieu les complexes Inutile de calculer la hauteur de ses talons. Quand les femmes qui datent un homme à peine plus grand qu'elles doivent sacrifier leurs chaussures à talons pour des baskets au risque de lui mettre une tête pendant toute la soirée, vous, vous portez ce que vous voulez. Vous êtes déjà plus grande que lui, alors à 2 ou 3 centimètres près... YOLO des talons hauts ! Cela décuple le champ de dates possibles. Trouver un homme socialement, émotionnellement, intellectuellement, musicalement, sportivement et sexuellement compatible avec vous, ce n'est déjà pas une mince affaire. Pourquoi ajouter un critère aussi creux que celui de sa taille sa taille tout court, pour le reste, oui on parle bien de la taille du pénis, ce n'est pas le propos ? Etablir des critères pour trouver chaussure à son pied et ne pas se tromper, ok, mais des critères superficiels, non. En éliminant les mecs petits de la liste, vous décuplez les possibilités de trouver LE bon ! Cela permet de vous réconcilier avec vos propres complexes. Les filles très grandes sont souvent complexées par leur taille. "Suis-je assez féminine ?", "Est-ce qu'il ne me trouve pas trop grande ?", "Je pèse plus lourd que lui c'est terrible !", autant d'idées aussi ancrées dans les esprits que fausses. On sait que parfois pour trouver un mec, c'est une galère d'être grande, et que ça donne des situations parfois loufoques comme des positions sexuelles pas si faciles que cela à réaliser. Mais le mieux pour trouver l'amour, c'est de vous aimer vous, de vous sentir libre d'aimer qui vous voulez, même s'il fait quelques centimètres de moins. Datez un homme plus petit que vous, tombez amoureuse, vous verrez que s'il vit très bien avec le fait d'être petit, vous êtes tout à fait capable d'assumer le fait d'être grande. Tant qu'on rit, qu'on fait l'amour, qu'on s'aime, on se fiche de l'image que l'on donne ! Les couples où l'homme est plus petit sont-ils plus heureux ? Les mecs à l'aise avec le fait qu'une fille soit plus grande qu'eux sont plus à l'aise avec son ambition, son talent, son intellect. Le temps où les hommes étaient gênés que leur compagne gagne plus qu'eux est révolu, heureusement. Mais chez certains hommes, les stéréotypes sexistes persistent. Une chose est sûre, c'est que si un homme sort avec vous alors que vous êtes plus grande que lui, c'est qu'il n'est pas du genre à s'encombrer de clichés ridicules. Votre ambition, votre augmentation salariale, votre expertise en matière de foot, de mode ou de géopolitique, il l'admirera. Tout comme tout autre homme sympa et ouvert d'esprit hein ! Les grands aussi peuvent être des types en or ! Des recherches indiquent que les hommes plus petits participent davantage aux tâches ménagères. Une étude du bureau américain de la recherche économique datant de 2014 a montré que les hommes petits mesurant moins d'1m70 font en moyenne 8h28 de tâches ménagères par semaine, soit 28% du temps total. Les hommes grands à partir de 1m88, en revanche, en font 7h30. Les hommes de taille moyenne, 7h38. *On n'a pas trouvé d'explications logiques. On ne sait quoi en penser exactement d'ailleurs, mais si les hommes plus petits peuvent inspirer leurs pairs, on prend. Et surtout, si les hommes petits sont acteurs dans le chemin pour l'égalité entre les sexes, on va peut-être même s'intéresser de plus près à eux on avait dit de ne pas se mettre trop de critères, c'est vrai. Petit homme = gros... salaire ! La même étude indique que 78% des hommes petits gagnent plus que leur partenaires, contre 69% des hommes de taille moyenne et 71% des grands bonhommes. Bon, en soi, cette nouvelle ne fait que nous rappeler que l'inégalité salariale n'est pas un mythe. Mais elle suggère aussi que les mecs petits sont plus à même de nous soutenir quand on décide de faire un switch triomphant. Les mecs plus petits divorcent moins. On apprend aussi dans cette étude américaine qu'alors que les taux de divorce chez les hommes grands ou de taille moyenne sont équivalents, ils sont 32% inférieurs chez les hommes plus petits. Peut-être est-ce parce que les hommes petits aiment faire le ménage ? On plaisante, mais tout ce qu'on en déduit, c'est que les mecs plus petits que nous assurent GRAVE ! Si vous doutez encore, pensez Daniel Radcliffe, Tom Cruise, Julien Doré... Même Gigi Hadid sort avec un mec plus petit qu'elle mais qui est grand quand même, du coup.
En matière d'amour et de sexe, a ses préférences et ses petits critères. Il n'en reste pas moins que certaines qualités semblent indispensables pour qualifier un partenaire de bon amant. La confiance, la qualité la plus attendue chez un amant La confiance est la qualité principale d'un bon amant savoir que vous pouvez compter sur lui, vous confier et vous réfugier dans ses bras, au quotidien, ça change la vie. Et au lit, ça change tout ! En effet, confie Marie, 35 ans "Julien est honnête, loyal, il sait m'écouter sans me juger, garder mes secrets, et il est toujours de bon conseil. Je me sens en sécurité dans ses bras. Et puis le côté viril qui prend soin de moi n'est pas pour me déplaire." Elle a confiance, elle sait qu'il ne sera pas indiscret. Elle est donc à l'aise pour toutes les folies. "La rencontre entre un homme et une femme se vit par le cœur et par le corps", souligne Nicole Jeammet, auteure de Amour, sexualité, tendresse éd. Odile Jacob. Mais la sexualité a besoin du liant de la confiance. Ce qui fait peur, dans la relation sexuelle, c'est de se livrer à l'autre. On craint que l'homme ne prenne du pouvoir sur nous et nous mette dans une situation de dépendance affective. Or, insiste Nicole Jeammet, quand on donne de l'affection, on ne se dépossède pas. Au contraire, on partage. Avoir confiance, c'est se laisser aller, se donner sans danger... et renforcer ainsi le sentiment du moi. C'est tout simple j'ai confiance en moi, donc lui aussi, ce qui me rassure et me donne encore plus confiance. Le duo gagnant pour être bien dans ses bras... De la tendresse avec son amant "Mon amoureux est très câlin, raconte Élise, 24 ans. Il me prend souvent dans ses bras, se montre doux et attentif... Et, quand je me glisse contre son corps chaud, je suis dans une bulle de coton. Enfin, avant que cela ne dégénère sauvagement... " Comme s'il fallait d'abord passer par le sas tendresse avant d'entrer dans le temple du plaisir. Reprenons à la base. Si l'on vous dit "tendre", vous pensez à quoi ? À Martinou, votre ours en peluche, à votre maman, à votre Jules ? Aux trois à la fois ? Banco ! Car parler de tendresse, c'est intégrer notre part d'enfance. Quand Jules vous caresse délicatement la joue ou dépose un baiser dans le creux de votre cou, cela vous renvoie inconsciemment au paradis perdu des câlins de maman. Or, rappelle Nicole Jeammet, "la sexualité est aussi unificatrice des âges de la vie. Dans un couple, la tendresse est la condition de l'abandon". Quand on fait l'amour avec son amant, les corps s'entremêlent, on se mange de baisers. Bref, on cherche littéralement à ne faire qu'un. Un engloutissement fusionnel que l'on avait aussi avec notre mère. En se montrant tendres, les amants se fondent l'un dans l'autre, et, quand on est en fusion, on a moins peur. Et on est plus disposé à s'abandonner au plaisir. Un peu de tendresse avant un câlin sauvage, quoi ! Un bon amant sait communiquer Anne-Sophie, 29 ans "Dans la vie, on parle beaucoup. On se raconte nos petits plaisirs et nos inquiétudes. Du coup, au lit, le dialogue est toujours là . Nous n'avons aucune gêne à parler de sexe, de ce qui nous plaît ou pas, ni à poser des questions." Bref, un bon amant doit savoir communiquer. Bien sûr, il est primordial pour un couple de se dire les choses, bonnes et mauvaises. Au lit, cela permet d'accéder à plus de plaisir, puisqu'on sait ce que l'on aime et, si besoin, on précise les envies. Mais attention, avertit Nicole Jeammet, "parler peut être aussi une façon de ne rien dire. Il faut surtout communiquer, c'est-à -dire écouter l'autre. Il n'y a pas de vérité de couple sans une vérité de parole". Dire les éléments positifs - et les négatifs. La première fois qu'on a croisé notre amoureux, on se ressemblait tellement qu'on s'est assemblés. Mais, le temps passant, on a réalisé qu'on était différents. Or "être un couple qui fonctionne, souligne Nicole Jeammet, c'est intégrer que l'on sera mieux ensemble si l'on est chacun un et chacun bien". Loin du consensus mou de ceux qui ne disent jamais les choses négatives par peur du conflit, il faut bien s'entendre sur ce que l'on veut ou pas. Parler, c'est aussi dire ce qui nous chiffonne, et courir le risque de ne pas avoir le même avis que notre moitié. Il est du soir, vous du matin ? Qu'à cela ne tienne, si vous vous donnez l'occasion de vous faire découvrir vos préférences ! Le tout étant de se mettre d'accord, quitte à faire des câlins matin ET soir. Il est libre et ne nous étouffe pas Avoir de la liberté avec son amant est indispensable. Ou plutôt, de la libération, rectifie Nicole Jeammet "Il s'agit plus d'apprendre à être libre, d'admettre que s'aimer ce n'est pas être dans la dépendance." En effet, rappelle-t-elle, l'enfant que nous étions s'est construit dans une quête de fusion avec sa mère, et, dans une relation amoureuse, nous avons toujours tendance à vouloir prendre l'autre dans nos filets. Pourtant, nous avons tous besoin, pour être épanouies dans un couple, d'avoir un jardin secret, nos amis et nos activités rien qu'à nous. C'est ce qui permet d'aller dans de meilleures conditions à la rencontre de l'être aimé. Car chacun apporte ses dons et ses qualités et les fait partager à l'autre. Avoir le sentiment qu'on ne s'étouffe pas est indispensable pour ne pas se sentir emprisonnée dans ses bras. Et puis, se sentir libre, c'est aussi avoir le plaisir de se retrouver... et de se jeter avidement l'un sur l'autre. Les qualités d’un amant le rire et la complicité Le rire et la complicité font partie des qualités de l’amant parfait. "Il trouve toujours la petite chose qui va me faire rire, me permettre de décompresser ou me faire éclater de joie. Pour moi, c'est ce qui fait qu'on est vraiment bien ensemble", raconte Justina, 33 ans. Rire ensemble des mêmes choses, être sur la même longueur d'ondes, avoir de la connivence... c'est ce qui, dans un couple, construit la complicité. "Et, lorsqu'on fait des câlins, continue Justina, on garde cette entente." Car l'amour est un accord qui doit être aussi ludique. D'autant que, souligne Nicole Jeammet, le rire offre une soupape nécessaire à l'épanouissement de la sexualité "Quand on est face à un échec, que quelque chose ne se passe pas comme on voudrait, c'est important de pouvoir en rire à deux." On dédramatise, on se dit que, demain, ça ira mieux. On fait de l'humour une force contre les difficultés. Car, dans ces grands moments de mise à nu où l'on se livre à l'autre, on est particulièrement sensible à l'humiliation. Il ne faut donc pas détruire la confiance. En riant ensemble, on prend de la distance. Non pas rire de l'autre mais rire ensemble, être complices. Pour être solides à deux. Et pour que l'amour reste un jeu très, très amusant. Un bon amant est à notre écoute "C'est incroyable comme il sait deviner dans mes gestes et mes demi-mots ! Parfois, il me bluffe ! Il comprend sans grands discours, ce qui, dans la vie de couple, évite beaucoup de vexations et de choses mal dites. Au lit, c'est pareil... Rien à sous-entendre, rien à expliquer sous toutes les coutures." De l'attention, de l'écoute, un peu de devinette, c'est la formule magique d'Adrienne et de Bruno. Parce qu'on n'a pas forcément envie d'expliquer tout en détail. Et parce qu'on voudrait parfois que les choses soient plus simples, plus fluides. "Il faut être capable d'empathie, explique Nicole Jeammet, savoir se mettre à la place de l'autre, pouvoir ressentir intimement ce qu'il vit." Ce qui demande de dépasser ses propres sentiments pour se mettre à la disposition de l'autre, et non pas projeter ses désirs sur l'être aimé. Car, reprend-elle, "la rencontre amoureuse est un formidable creuset d'apprentissage de la différence". Il nous trouve belle et nous le dit Dans la vie, rien de mieux pour donner confiance à une femme que de faire des compliments sincères. Le matin, on a besoin de sentir que notre amoureux nous trouve jolie. Au lit, c'est pareil on est mieux quand on se sent belle et désirable. Or, les femmes n'étant en général pas très gentilles avec elles-mêmes, on aurait plutôt tendance à pointer nos défauts qu'à s'auto-complimenter. Il faut donc bien que ce soit lui qui nous dise qu'on est jolie ! Macha, 32 ans, se souvient "Au début, ça ne se passait pas très bien au lit car je n'étais pas à l'aise, je ne me trouvais pas assez belle. Puis il m'a rassurée. Et ça va beaucoup mieux !" En effet, insiste Nicole Jeammet, "la confirmation narcissique est nécessaire pour aimer l'autre, il faut s'aimer soi-même, avoir le sentiment qu'on vaut la peine". Et se donner ainsi avec d'autant plus de volupté qu'on ne se prend plus la tête sur nos courbes. L’amant idéal prend son temps Pensez à la théorie de l'oignon au départ, on cherche à se trouver des points communs "Oh, moi aussi j'aime le chocolat !". Puis, au fur et à mesure que l'on trouve des terrains d'entente, on se dévoile, on enlève les couches de l'oignon... jusqu'à arriver au cœur, certains que l'on s'entend sur toutes les étapes précédentes. Bien sûr, pour qu'un couple fonctionne, il faut que les amoureux partagent des choses, ce qui demande de prendre le temps de se découvrir. Et, pour une relation sexuelle épanouie, c'est pareil. Maud, 29 ans, se raconte "On a été d'une patience d'anges pour chercher ce que l'autre aimait et se construire de nouveaux plaisirs ensemble. Autant pour la nourriture, les sorties, que pour les câlins." En effet, signale Nicole Jeammet, "la rencontre est une découverte de l'autre comme de soi-même. Il n'y a pas d'être en soi, mais un devenir d'être pour chacun". C'est ce que l'on éprouve lorsque l'on réalise que notre caractère change avec tel ou tel petit ami je suis porteuse de cette altérité car je me construis par rapport à autrui. La rencontre me fait donc découvrir que je suis autre, et que lui est différent, ce qui doit être un enrichissement et non un obstacle. Mais cela fait beaucoup d'informations à intégrer ! D'autant plus, continue Nicole Jeammet, que "aujourd'hui on ne supporte plus de prendre le temps. Pourtant, le secret d'une vie de couple réussie est d'accepter la durée, de savoir que le blé passe par plusieurs étapes avant de mûrir... avec aussi des périodes de sécheresse". Prendre le temps de se trouver, c'est s'inventer à deux, découvrir notre vérité. Lina confie "Avec Marc, je me suis sentie toute neuve, avec tout à réapprendre. Il nous a fallu retrouver les gestes doux, les câlins, les baisers, prendre le temps de construire une intimité ensemble." La folie, qualité indispensable au lit et dans le couple "On s'éclatait tellement dans la vie que ça ne pouvait qu'être aussi bien pour le sexe !" s'enthousiasmait Camille, 26 ans. Savoir partager des délires, partir dans des fous rires et avoir le même grain de folie sont des atouts importants pour prendre du plaisir ensemble. Cela sous-entend que vous saurez aussi vous lâcher dans ses bras, être désinhibée. On oublie les complexes et les questions qui taraudent et l'on s'éclate ! De toutes les façons, note Nicole Jeammet, "l'amour est une folie, et c'est beaucoup plus vrai aux débuts d'une relation amoureuse". Là , on a l'impression que tout est possible, que le monde s'ouvre à nous, comme un sentiment de régénérescence qui donne des ailes. L’amant parfait vous admire comme une merveille d'intelligence et de beauté, et vous lui rendez bien ses regards pleins d'étoiles. C'est cette douce démence qui fait battre le cœur et qui soude le couple, car on est en pleine explosion narcissique, ce qui ouvre les portes de la jouissance. Garder ce grain de folie, c'est s'assurer de prendre du plaisir au lit comme à la ville. L’amant idéal nous fait vibrer au lit C'est la meilleure façon d'être heureuse dans la vie et de prendre du plaisir au lit se savoir aimée et aimer en retour. Adrienne confie "Quand on fait l'amour, on vit aussi pleinement notre amour. C'est plus fort, plus beau, plus grand qu'avec n'importe quel homme avant. On s'aime, c'est tout." Car faire l'amour avec l'homme dont on est éprise, c'est vivre un absolu de bonheur, un je-ne-sais-quoi de formidable qui sublime la jouissance. "Certaines fois, j'ai tellement de plaisir avec lui, je l'aime tellement, que j'en pleure !", soutient Perrine, 30 ans. Une émotion par laquelle on se sent palpiter. En effet, explique Nicole Jeammet, "aimer, c'est se sentir vivant. Faire l'amour, c'est se sentir le plus vivant possible". Après la petite mort qu'est la jouissance, on ressuscite plus proche de l'autre. Donc, non seulement être amoureux donne plus de plaisir sexuel, mais ça rend encore plus amoureux. Plus d'hésitation.
doua pour se marier avec l homme qu on aime